Dédicace et remerciements.
Je souhaiterais dédier ce mémoire et les deux ans de recherches effectuées sur le Fonds de Saxe, à :
- Mon père, Paul Terraux, décédé en 1946, qui m’a laissé avec ses livres, la passion de l’Histoire.
- Mon grand-père, Alfred Terraux, décédé en 1964, à qui je dois le goût pour la lecture.
- Ma mère, Georgette Vothelin, qui par son travail, permit à ses enfants de faire des études supérieures.
Je souhaiterais aussi associer, tous les enseignants que j’ai rencontrés. Certains ont particulièrement compté pour moi et
méritent une reconnaissance
particulière, aussi je citerai leur nom :
- Monsieur Lallemand qui à l’école Casimir Perier de Troyes, se dévouait pour apprendre à lire, écrire et compter à cinquante
enfants des cours préparatoire
et élémentaire réunis.
- Joseph Dilemann qui m’enseigna l’histoire et la géographie, de la seconde à la terminale, à Saint-Joseph à Dijon.
- Jean Bouisset, professeur d’électronique et électrotechnique à l’École Catholique d’Arts et Métiers de Lyon, qui au-delà de
sa discipline technique, avait
l’ambition d’apprendre à ses étudiants, le métier d’ingénieur.
- Jean-Paul Émorine (OP), professeur de sciences humaines à l’École Catholique d’Arts et Métiers de Lyon, qui m’accorda son
amitié, et tenta de me faire
découvrir les vraies valeurs de la vie.
- L’ensemble des membres de la congrégation des frères des Écoles chrétiennes dont je fus l’élève pendant douze ans. J’espère
qu’ils ont reçu ou recevront,
la récompense que méritait leur dévouement.
- Je voudrais enfin mentionner tous les professeurs et maîtres de conférence que j’ai rencontrés dans ma « seconde » vie étudiante,
que ce soit à
l’Université de Reims ou à Paris-Sorbonne. Dans le souvenir que je garde, ils furent tous passionnant
dans leur enseignement, brillant dans leur discipline
et d’une grande honnêteté intellectuelle. Je souhaite exprimer ici, le témoignage de la très haute
estime que j’ai pour eux.
L’idée de consacrer un travail de recherche au Fonds de Saxe, est née d’une remarque que Monsieur Le Professeur Lucien Bély fit au
printemps 2003, durant un cours d’histoire moderne qu’il donnait à ses étudiants de licence. Lorsque je
me suis porté volontaire pour ce travail de recherche,
il m’a encouragé ; il m’a proposé un thème de travail et a volontiers accepté de venir sur place aux archives
départementales de l’Aube, vérifier la qualité et
le volume des documents disponibles.
C’est ici l’occasion de le remercier et de lui rendre hommage. Il a initié cette recherche, il l’a inspiré, il a par ses conseils
directs ou dans le cadre de son
séminaire, dirigé ces travaux.
Je souhaiterai, aussi remercier, Madame Suzanne Arluison qui assure le fonctionnement matériel de l’IRCOM dans le cadre duquel,
j’ai effectué cette année de
maîtrise. Je l’ai souvent dérangée. Elle fut toujours disponible pour trouver une solution aux problèmes
que je lui posais.
Ce travail de recherche s’effectua aux archives départementales de l’Aube dirigées par Monsieur de La Celle. J’y ai toujours
été très aimablement reçu. Les
personnes qui assurent le fonctionnement de cet établissement, ont toujours été extrêmement aimables,
disponibles et serviables. J’ai pu y travailler dans
d’excellentes conditions. J’ai fini par croire que j’appartenais à l’établissement. J’espère ne pas en
avoir abusé ; si ce fut le cas, je présente mes excuses
et je remercie tout l’établissement pour l’aide et les services que j’ai reçus.
Le Musée des Beaux-arts de Troyes m’a remis la photographie des portraits de Xavier de Saxe et de trois de ses enfants, en
autorisant leur utilisation dans le
présent document. J’ai reçu un très aimable accueil de la part de Madame le Conservateur en Chef, Chantal
Rouquet et de Madame Brigitte Massé, documentaliste du
Musée d’Arts et d’Histoire. Je souhaite qu’elles reçoivent ici, l’expression de mes remerciements.
Je dois mentionner Dr. Dr. Thomas Nicklas du Friedrich-Alexander-Universität de Erlangen-Nürnberg. Nous échangeâmes plusieurs
courriers. J’ai eu le plaisir de le
rencontrer. Il m’encouragea dans mes travaux. Il m’apporta à plusieurs occasions des précisions sur des
faits historiques touchant les princes de Saxe que
j’ignorais. Il me conseilla plusieurs fois, et ses conseils s’avérèrent extrêmement judicieux. Je souhaite
qu’il reçoive ici mes remerciements et aussi
l’expression de la haute estime que je lui porte. Je sais qu’un projet commun nous permettra de nous rencontrer
; je m’en réjouis à l’avance.
Il me faut remercier une dernière personne qui m’a soutenu dans ce projet : Madame Kuaitaioho Teikivaeoho-Terraux, mon épouse.
Elle a accepté que je partage mon
temps entre elle et Xavier de Saxe. Souvent, elle reçut la plus petite part. Elle ne fit aucune remarque
lorsque nos « projets de retraités » furent souvent
retardés et parfois annulés, pour permettre le bon déroulement de mes études. Je sais combien de temps
lui fut dérobé par les princes de Saxe. Pourtant, elle
n’aurait jamais accepté que j’abandonne ce projet de recherche. Je sais ce que je lui dois et ce qu’elle
me donne tous les jours ; je la remercie et je lui
renouvelle mon amour.